Exister
Seules quelques personnes sont conscientes d’une nature impersonnelle sans forme au-delà des définitions du moi.
Exister en tant que création
Vous trouvez dans ce cas la personne qui s’est coincé dans des définitions. Elle a ajouté tant de modificateurs à “Je suis” qu’elle a essentiellement épuisé la possibilité de créer toute nouvelle définition sans entrer en conflit avec une définition qu’il a déjà créée. Elle se vit comme une création, une forme, plutôt que comme une source de création sans forme.
Exister en tant qu’intellect
La conscience a des facultés qui nous permettent d’avoir affaire à l’univers matériel et de le transformer. Tout le monde est plus ou moins conscient de ces facultés. En gros, ce sont l’imagination, la pensée et la mémoire. Ce sont des aspects de l’intellect.
Exister en tant que perspective
Un point de vue est la faculté de définir ou de distinguer la réalité en triant les impressions sensorielles et en les mettant en relation ; c’est faire l’expérience de quelque chose que vous n’avez pas de mots définis pour exprimer.
Au lieu de vous fonder simplement sur une définition intellectuelle, vous commencez à vous appuyer sur les variations des impressions sensorielles pour déterminer où les choses commencent et où elles finissent.
Attention
Chaque être humain est doté d’une certaine capacité d’attention. Cette capacité varie d’un individu à l’autre, mais aussi au sein d’un même individu, selon le moment et les circonstances.
Le mot « attention » vient de deux mots latins, ad, qui signifie « vers », et tendere, qui signifie « étendre ». Lorsque vous prêtez
attention à quelque chose, vous vous étendez vers cette chose. Une fois que votre curiosité est satisfaite, votre attention se détourne de ce que vous voyiez, entendiez, touchiez, goûtiez, ressentiez, pensiez, etc., et se porte vers autre chose.
Ou du moins, c’est ainsi que cela devrait être.
L’épuisement mental, l’irritation et le sentiment d’être submergé sont des sensations.qui surgissent lorsque le monde exige de vous plus d’attention libre que disponible.
Si vous envoyez des unités d’attention filtrées par vos jugements, vous ne recevrez pas beaucoup d’information.
La capacité de stockage d’une unité d’attention filtrée est déjà occupée par ses suppositions, ses opinions et ses préférences. Elle ne recueille donc que des impressions vagues et peu précises, sur lesquelles vous devez réfléchir pour leur donner un sens. Et devinez quoi ? Le monde
s’avère être très similaire à ce que vous pensiez qu’il serait.
Les personnes qui perçoivent mal ou qui sont injustement critiques fonctionnent à travers des unités d’attention filtrées.
Les gens finissent par percevoir ce qui était déjà dans leur esprit. Le problème avec cela, c’est que cela leur donne le faux sentiment d’avoir raison sur quelque chose. Si ils prenaient le temps d’examiner réellement leur observation, ils découvriraient
qu’ils étaient obstinés, plutôt que de percevoir les faits avec justesse.
Si vous envoyez des unités d’attention libre, elles vous renvoient des données claires et utiles. L’attention libre n’est pas courante. Si vous pouviez augmenter votre attention libre, vous serez totalement stupéfaits de voir à quel point vous observez peu en temps normal.
Bidirectionnalité
Le terme “bidirectionnel” dans le contexte de la physique, se comprend comme quelque chose qui fonctionne ou se propage dans deux directions opposées ou symétriques, que ce soit dans l’espace, le temps ou dans des interactions physiques.
1. “Bidirectionnalité et tachyons” :
– Les tachyons, en tant que particules supraluminiques (plus rapides que la lumière), ont une relation particulière avec le temps et la causalité. Selon la relativité restreinte, si une particule voyageait plus vite que la lumière, elle pourrait être perçue dans certains référentiels comme se déplaçant “en arrière dans le temps ».
Cela implique une sorte de « bidirectionnalité temporelle » : les informations ou les effets d’un tachyon pourraient, se propager aussi bien vers le futur que vers le passé.
– En ce sens, un processus « bidirectionnel » fait référence à la capacité des tachyons à influencer des événements dans les deux directions temporelles.
Champs
Considérez un champ comme un « environnement invisible » qui affecte les choses qui l’entourent. Par exemple :
- Un aimant crée un champ magnétique : si vous placez un clou à proximité, celui-ci ressent une force.
- La Terre crée un champ gravitationnel : c’est pourquoi les objets tombent au sol.
- Champs quantiques : chaque particule (comme les électrons, les photons ou même les tachyons ) est associée à un champ. Les particules sont comme des « vibrations » ou des « excitations » de ces champs. Par exemple :
- L’électron est une excitation du champ électronique.
- Le photon est une excitation du champ électromagnétique.
- Champs et tachyons : les tachyons, soent des excitations d’un champ tachyonique. Ce champ a des propriétés inhabituelles, ce qui permet aux particules associées de se déplacer plus vite que la lumière (supra-luminique).
Intention
Une chose est raisonnable tant qu’elle correspond à la manière dont vous structurez votre conscience.
Les suppositions que vous faites, les croyances que vous acceptez sans les remettre en question et les décisions que vous prenez structurent votre conscience.
La même idée qui peut sembler raisonnable à une personne peut sembler irrationnelle à une autre. Vous pourriez appeler
« esprit » cette structure d’hypothèses, de croyances et de décisions.
Certaines personnes voient une idée et disent : « Ah, c’est très raisonnable ». Pourquoi ? Parce que cela correspond à la structure de la conscience avec laquelle elles pensent.
D’autres personnes voient la même idée et disent « C’est
complètement farfelu ». Pourquoi ? Parce que cela ne correspond pas à la structure de la conscience avec laquelle elles pensent.
Mais c’est la même idée.
Avez-vous un but central dans la vie ? Y a-t-il une intention
fondamentale qui renforce, s’oppose ou façonne tous les autres vecteurs de motivation dans votre vie ? Un vecteur qui vous pousse vers quelque chose dont vous avez besoin de faire l’expérience ?
Par définition, le but de la vie est une intention concrète qui
semble guider votre vie
Vos objectifs personnels et professionnels sont-ils alignés sur votre but dans la vie ?
De même il est important de clarifier voyre intention lorsque vous utilisez les Tachyons
Limites saines
Le concept de « limites saines » fait référence à l’établissement et au maintien de barrières personnelles claires et respectueuses dans nos relations, nos émotions et nos comportements, dans le but de protéger notre bien-être physique, mental et émotionnel, tout en respectant l’espace et les besoins des autres.
Que sont les limites saines et pourquoi sont-elles importantes ?
Les limites saines sont comme une « ligne invisible » que vous définissez pour protéger votre énergie, votre temps, vos émotions et vos valeurs, tout en permettant des relations équilibrées avec les autres. Elles sont essentielles car :
– « Elles protègent votre bien-être » : elles vous empêchent de vous sentir dépassé, exploité ou émotionnellement épuisé.
– Elles « favorisent le respect mutuel » : elles contribuent à des relations équitables, où toutes les parties se sentent valorisées.
– Elles « encouragent l’authenticité » : elles vous permettent d’être fidèle à vous-même sans céder à des pressions extérieures.
– Elles « favorisent le développement personnel » : en fixant des limites, vous développez votre conscience de vous-même et votre estime de soi, ce qui peut élever votre « niveau de conscience ».
Ligne de temps
Une chronologie, ou frise chronologique, est une représentation visuelle et linéaire d’événements classés par ordre chronologique. Elle permet d’organiser des faits, des dates ou des périodes importantes sur une échelle temporelle, souvent sous la forme d’une ligne droite, afin d’illustrer leur séquence et leur contexte historique ou narratif.
Événements ou décisions clés
- Dans une chronologie de décisions vitales, il s’agit des moments où une décision a redéfini le cheminement (par exemple, choisir de voyager plutôt qu’un emploi stable).
Voici les principaux éléments qui influencent une chronologie, dans le contexte des décisions vitales :
- Les valeurs :
- exemple : la passion pour l’écologie a dicté les décisions (bénévolat, permaculture).
- Les priorités :
- ce que je privilégie à un moment donné.
- Le contexte externe
- Exemple : la prise de conscience écologique mondiale a pu vous inciter à déménager à la campagne. Les rencontres avec d’autres personnes.
- L’âge et les étapes de la vie : les décisions varient selon les phases (jeunesse, âge adulte, etc.).
- Les objectifs
- Exemple : si mon objectif est d’inspirer les autres à vivre de manière durable, je privilégierai les décisions écologiques par rapport aux décisions personnelles.
Niveau de Conscience et État de Conscience
La distinction entre “niveau de conscience” et “état de conscience” est un sujet important.
- “Niveau” = “À quel point êtes-vous éveillé ?” (objectif, mesurable).
- “État” = “Comment vivez-vous la réalité ?” (subjectif, qualitatif).
1. “Niveau de conscience” :
– Il s’agit du degré de développement, de profondeur ou d’étendue de la conscience d’une personne, d’un système ou d’une entité.
Le niveau de conscience décrit la manière dont une personne (ou une groupe) perçoit la réalité, depuis un état de survie élémentaire jusqu’à des états élevés de conscience de soi, d’empathie ou de connexion universelle.
– Exemple : dans l'”échelle de conscience de David R. Hawkins”, les niveaux de conscience sont mesurés sur une échelle numérique (de 0 à 1000), où les niveaux bas correspondent à des émotions telles que la peur ou la colère (par exemple, 100-200), et les niveaux élevés à des états d’amour, de paix ou d’illumination (par exemple, 500-1000).
2. “État de conscience” :
– Considérez l’état de conscience comme le « mode » dans lequel votre esprit fonctionne à l’instant présent, comme si vous changiez de chaîne sur un téléviseur. Vous pouvez être en mode « attentif », « rêveur », « méditatif » ou « distrait ».
– En neurosciences, les états de conscience sont étudiés à l’aide d’ondes cérébrales (par exemple, bêta pour l’éveil, thêta pour la méditation, delta pour le sommeil profond) et sont influencés par des facteurs tels que le sommeil, les drogues ou la méditation.
– Dans les pratiques spirituelles, certains états de conscience (tels que la méditation profonde ou les expériences mystiques) peuvent vous donner un « aperçu » de niveaux de conscience plus élevés, mais cela ne signifie pas que vous avez atteint ce niveau de façon permanente.
Exemple pour clarifier :
– Une personne ayant un “niveau de conscience” élevé (par exemple, quelqu’un qui vit avec compassion et paix intérieure) peut expérimenter différents “états de conscience” au cours de la journée : méditation profonde (état altéré), repas (état de veille normal) ou sommeil (état de sommeil). Son niveau de conscience reste élevé, mais ses états varient.
- D’autre part, une personne ayant un niveau de conscience plus faible (par exemple, dominée par le stress ou l’ego) peut connaître un moment d'”état de conscience élevé” (comme un instant de clarté en méditation), mais cela ne signifie pas que son niveau de conscience a changé de façon permanente.
Particules
Une particule est une entité fondamentale ou élémentaire en physique, constituant les blocs de base de la matière et des interactions dans l’univers. Elle peut être :
- Matérielle : Comme les électrons, protons ou neutrons, qui composent les atomes. Ces particules ont une masse et occupent un espace.
- Énergétique : Comme les photons (particules de lumière), qui transportent des forces ou de l’énergie sans masse au repos.
- Non-Matérielle : Comme les tachyons, des particules qui voyagent plus vite que la lumière (supraluminiques).
Dans le contexte supraluminique et des tachyons :
une particule (électron, photon, etc.) n’est pas un objet ponctuel classique, mais par une fonction d’onde, qui contient toute l’information sur son état quantique, décrit nos connaissances, pas une réalité objective.
La particule n’a pas de position définie avant la mesure.
- Les particules ordinaires (comme les électrons) ne peuvent pas atteindre la vitesse de la lumière, encore moins la dépasser, selon la relativité d’Einstein.
- Les tachyons, en revanche, sont des particules qui existent uniquement à des vitesses supraluminiques. Ce sont des particules dans le sens quantique.
- dans la théorie quantique des champs, chaque particule (comme les électrons, les photons ou même les tachyons hypothétiques) est associée à un champ. Les particules sont comme des « vibrations » ou des « excitations » de ces champs.
Point Zéro
L’Énergie du point zéro et énergie du vide:
– L’énergie du point zéro est la composante principale de l’énergie du vide. Chaque champ quantique (électromagnétique, électronique, tachyonique, etc.) contribue avec sa propre énergie du point zéro au vide.
Énergie du point zéro et champs :
– Chaque type de particule a un champ quantique associé, et l’énergie du point zéro de ces champs constitue l’énergie du vide. Par exemple :
– Le champ électromagnétique présente des fluctuations qui produisent des photons virtuels.
– Un champ tachyonique présente des fluctuations qui produisent des tachyons, mais avec des propriétés inhabituelles.
– L’énergie du point zéro est universelle : elle existe dans tout l’espace et affecte la manière dont les particules interagissent à travers les champs.
Supraluminique
Le terme supraluminique désigne tout ce qui se déplace ou se produit à une vitesse supérieure à celle de la lumière (environ 300 000 km/s dans le vide).
Les tachyons sont des « particules _au sens quantique_ »(Voir Glossaire) proposées dans le cadre de certaines théories physiques, qui sont un exemple de phénomène supraluminique.. Contrairement aux particules ordinaires, les tachyons sont toujours supraluminiques, c’est-à-dire qu’ils voyagent constamment plus vite que la lumière.
Tachyon
Selon la physique classique, les tachyons sont des particules hypothétiques qui voyagent plus vite que la vitesse de la lumière, ce qui signifie qu’elles fonctionnent en dehors des contraintes de l’espace-temps normal.
Elles sont devenues un symbole de l’énergie et de la conscience dans les discussions scientifiques (en Physique Quantique, par exemple) et métaphysiques.
En effet de nouvelles approches (Federico Faggin) en Physique Quantique admette la Conscience comme fondamentale, contrairement au pre-supposé materialisme obsolète.